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sur l'auteur

Je m'appelle Frédéric Faravel. Je suis né le 11 février 1974 à Sarcelles dans le Val-d'Oise. Je vis à Bezons dans le Val-d'Oise. Militant socialiste au sein de la Gauche Républicaine & Socialiste. Vous pouvez aussi consulter ma chaîne YouTube. J'anime aussi le groupe d'opposition municipale de gauche "Vivons Bezons" et je suis membre du groupe d'opposition de gauche ACES à la communauté d'agglomération Saint-Germain/Boucle-de-Seine.
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Gauche Républicaine & Socialiste

18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 10:18
"La Guadeloupe attendra : ah ça c'est une phrase de Jego..."
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18 février 2009 3 18 /02 /février /2009 08:48
Les premiers coups de feu ont été tirés en Guadeloupe, déjà depuis lundi barrages, voitures brûlées avaient donné l'occasion d'une intervention policière musclée. Qui peut honnêtement s'en étonner ?
Depuis 5 semaines, la Guadeloupe (depuis 12 jours, la Martinique) connaît un mouvement social majeur et exemplaire ; le gouvernement a mis 15 jours avant de s'en préoccuper, le Président de la République a omis d'en parler lors de son show du 5 février, Yves Jégo s'est non seulement ridiculisé en faisant des aller-retours avec la Métropole (c'est vrai quoi en Guadeloupe le téléphone avec Matignon, les vidéo-conférences ce n'est pas possible...!?), mais il a déconsidéré la parole de l'Etat revenant sur les promesses faites aux partenaires sociaux.
Si Jego pouvait tenir des propos, quelques jours plus tard (vendredi 13 février) sur France Inter, relativement ouvert et clairvoyant sur le constat de la faillite du système du développement et d'exploitation des Antilles françaises, c'est qu'il était déjà carbonisé, sur une rampe de lancement pour son éjection du ministère de l'outre-mer : tout ce qu'il peut dire n'a plus aucune portée politique opérante, ses paroles ne sont donc plus dangereuses pour les puissants de l'archipel (Békés ou élus clientèlistes) qui ont l'oreille des ministères.
Tout a donc été fait pour nourrir et provoquer le pourrissement politique et social de ce conflit ; finalement la visite de Besancenot après plus de 4 semaines de conflit sur place arrange bien le pouvoir qui compte également dessus pour souffler un peu plus sur les braises ; l'un des points sur lesquels j'accorde un satisfecit à Martine Aubry sur le sujet, c'est que les délégations socialistes envoyées là-bas y sont allées non pour faire le spectacle, mais pour écouter, dialoguer et proposer, a contrario le vrai problème c'est que la parole du Parti socialiste reste désespérement faible quant à la remise en cause d'un système d'exploitation réactionnaire.
La stratégie de ce gouvernement est ouvertement celle de la criminialisation des mouvements sociaux, il cherche une occasion de montrer sa force virile pour camoufler son échec économique et social, démontrer qu'il sait rétablir l'ordre, ressource habituel des partis conservateurs et réactionnaires. N'oublions pas la violence de la répression en 1967... N'oublions pas que Sarkozy a un compte à régler avec les Antilles dont les élites lui ont toujours dénié une quelconque allégeance (de toute façon il ne les aime pas) ; n'oublions pas qu'il s'est senti humilié par le silence forcé auquel il fut contraint lors des obsèques nationales d'Aimé Césaire (humiliation qui fut opportunément réduite par le choix politique de ne diffuser cette magnifique cérémonie que sur France Ô, ce qui ne la rendait accessible quà un tiers des téléspectateurs métropolitains).
Mais au-delà, le rapport au mouvement social change dans sa manière d'être abordé par le pouvoir. Les mouvements sociaux, les conflits dans l'entreprises se tendent et se multiplient à la base. L'attitude de la force publique devient plus brutale ; les préfets et directeurs de la police sont débarqués quand les cris atteignent les oreilles de sa majesté ; les interventions musclées et les interpellations se multiplient en marge. Après avoir tenté de masquer le conflit social, Sarkozy et ses officines cherchent aujourd'hui à spectaculariser sa potentielle dangerosité ("classes laborieuses, classes dangereuses"), d'où le choix de donner de l'espace à SUD, de refuser un débouché aux plateformes des syndicats réformistes et de compter sur la montée du NPA en politique.
J'irai même jusqu'à dire que l'épisode de Tarnac participe de la même stratégie : en inventant le retour d'un pseudo-terrorisme d'ultra-gauche, il y a fort à parier que par méthode aglutinante on assimilera bientôt l'extrême gauche politique et syndicale à la violence tout court contre laquelle la répression se durcira mais sans l'empêcher d'être active, pour accuser ensuite la gauche de gouvernement de courrir après l'extrême gauche et chercher ainsi à la décrédibiliser.

Ainsi prévenu, cela ne doit pas nous empêcher de travailler à une véritable alternative. Ne tombons pas dans le piège qui consisterait sur les conseils de nos propres camarades à affadir encore un peu plus notre discours et nos propositions, à abandonner la voie de l'alternative et d'un projet de société différent de celui du centre et de la droite. Martine Aubry l'a dit ce matin, c'est le système qui est en cause, injuste et inefficace, fondé sur le déséquilibre entre revenus du capital et revenus du travail... Sur ce renversement de logique, rien ne doit nous ralentir...
Frédéric Faravel
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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 10:33
Antilles: Domota accuse Jégo de mentir, Mediapart le prouve
Liens:
[1] http://www.mediapart.fr/club/blog/maguy-day
[2] http://www.mediapart.fr/files/Jego.pdf
[3] http://www.mediapart.fr/journal/france/110209/les-antilles-sont-au-bord-de-la-revolte
[4] http://www.lkp-gwa.org/


Elie Domota : «La Guadeloupe reste une colonie asservie à la métropole»
Liens:
[1] http://www.mediapart.fr/club/blog/maguy-day
[2] http://www.mediapart.fr/diaporama.php?d=Guadeloupe20090131&t=95e12b17f2cca5653e725d3e290d9f71
[3] http://fr.wikipedia.org/wiki/Octroi_de_mer
[4] http://ugtg.org/
[5] http://www.gbh.fr/activites/distrib1.asp
[6] http://lurel.parti-socialiste.fr/2009/01/


«Un mouvement qui replace la question sociale au cœur»
Liens:
[1] http://www.mediapart.fr/club/blog/stephane-allies
[2] http://www.univ-ag.fr/crplc/images/stories/Rapport.pdf
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17 février 2009 2 17 /02 /février /2009 09:59
Je sais... ce n'est pas bien du tout... mais qu'est-ce que je me suis marré ce matin !
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16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 18:37
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16 février 2009 1 16 /02 /février /2009 10:58
Liens:
[1] http://www.mediapart.fr/club/blog/la-redaction-mediapart
[2] http://fr.wikipedia.org/wiki/Gilles_Deleuze
[3] http://fr.wikipedia.org/wiki/Aimé_Césaire
[4] http://www.lmsi.net/spip.php?article746
[5] http://www.mediapart.fr/journal/france/150209/outre-mer-la-revolte-sociale-s-etend-a-la-reunion
[6] http://www.mediapart.fr/journal/france/140209/en-martinique-derriere-le-conflit-social-le-conflit-racial
[7] http://www.mediapart.fr/journal/france/130209/antilles-domota-accuse-jego-de-mentir-mediapart-le-prouve
[8] http://www.mediapart.fr/journal/culture-idees/190109/edouard-glissant-et-patrick-chamoiseau-s-adressent-a-barack-obama
[9] http://www.mediapart.fr/journal/france/290408/memoire-des-esclavages-edouard-glissant-bouscule-la-commemoration
[10] http://www.mediapart.fr/journal/france/220408/de-cesaire-a-glissant-la-martinique-comme-antidote-au-sarkozysme
[11] http://ugtg.org/mot_134.html
[12] http://fr.wikipedia.org/wiki/Edgar_Morin
[13] http://fr.wikipedia.org/wiki/André_Gorz
[14] http://www.mediapart.fr/files/Manifeste des neuf.pdf
[15] http://www.mediapart.fr/journal/france/110209/martinique-le-documentaire-qui-met-de-l-huile-sur-le-feu
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13 février 2009 5 13 /02 /février /2009 11:01


Matins (les)

Les Matins

par Ali Baddou
du lundi au vendredi de 7h à 9h05

Ecoutez

émission du lundi 9 février 2009
Daniel Maximin
et Axel Urgin

 

 


D. Maximin et A. Urgin
 © M. Chalandon / RF

L’opération « île morte » se poursuit, la Guadeloupe est toujours totalement paralysée depuis plus de 3 semaines par une grève générale contre la vie chère.
Situation bloquée, donc, malgré les négociations qui se poursuivent. Les guadeloupéens ont été rejoints par les martiniquais jeudi dernier pour exprimer leur ras-le-bol face au chômage endémique qui dépasse les 20% et au coût de la vie — les prix atteignent parfois le double de la métropole.
Ce week-end, 50 000 personnes manifestaient encore à Basse-Terre… Alors comment en est-on arrivés là ? Qui a lancé ce mouvement et pourquoi la situation reste-t-elle bloquée ?
Pas un mot sur la situation en Guadeloupe et en Martinique en 90 minutes d’émission « face à la crise » de Nicolas Sarkozy…
On va en parler tout à l’heure avec nos invités, Axel Urgin, ancien secrétaire national du PS à l’Outre mer et l’écrivain Daniel Maximin.
 

Invités

 

Daniel Maximin.  Il est écricain.

Axel Urgin.  Il est maire-adjoint de Créteil et ancien secrétaire national du PS à l'outremer.

Jacky Dahomay.  Il est professeur de philosophie au Lycée de Baimbridge (Guadeloupe).
-Au téléphone depuis la Guadeloupe de 7h40 à 7h50-

     
 


     



           

des livres à découvrir

   
   


 

   
 

Daniel Maximin
Les fruits du cyclone : une géopoétique de la Caraïbe
Seuil, Paris - 16/02/2006

   


Avec la collaboration de Valérie Picaudé.

Empruntant ses illustrations à l'histoire et à la géographie, à la littérature, à la musique, aux arts visuels, comme aux motifs et figures du quotidien, Daniel Maximin propose une géopoétique personnelle de sa Caraïbe natale : une genèse de ses identités, une cartographie de ses singularités. De Cuba aux West Indies, de Haïti aux Antilles, c'est « un archipel d'îles-roseaux nées de la résistance aux chaînes, pliées sans rompre sous les ouragans géographiques et les cyclones de l'histoire. Par la voix de tous ses conteurs et danseurs, paysans et architectes, couturières et cuisiniers, musiciens et poètes, la Caraïbe le proclame depuis quatre siècles après le déluge dont elle a émergé : "nous ramassons des injures pour en faire des diamants", pour elle et pour tout l'homme. »


 
 

Ouvrage collectif
La Guadeloupe vue du ciel
HC Editions - 20 octobre 2008

 
   
 

Autour d'une centaine de photographies aériennes des îles de la Guadeloupe, une soixantaine de poètes et d'auteurs se retrouvent, invités par Daniel Maximin ; des extraits de leurs écrits, en français et en créole, sont ainsi reproduits pour illustrer ces images inédites. L'ouvrage prend, dès lors, l'allure d'une anthologie de la prose et de la poésie guadeloupéenne autant que d'un livre de photographies...
 


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11 février 2009 3 11 /02 /février /2009 16:49
Kadima : 28 sièges ;
Likoud : 27 sièges ;
Yisraël Beitenu : 15 sièges ;
Parti travailliste : 13 sièges ;
Shas (religieux séfarades) : 11 sièges ;
Parti unifié de la Torah : 5 sièges ;
Union nationale : 4 sièges ;
Hadash - Parti communiste israélien : 4 sièges ;
Liste arabe unifiée - Ta'al : 4 sièges ;
Meretz (Gauche socialiste) : 3 sièges ;
Patrie Juive : 3 sièges ;
Balad (parti arabe démocratique) : 3 sièges.
La percée de l'extrême droite ultra nationaliste n'est pas aussi forte qu'annoncée, l'effondrement du parti travailliste est pire que prévu, le scrutin proportionnel jouant à plein les électeurs de gauche ont cherché à sauver Kadima pour éviter que le Likoud arrive en tête (et il faut dire que le parti travailliste n'est plus très crédible).
Mais l'union nationale Kadima-Likoud-travaillistes est-elle la seule solution ? elle risque de toute manière de de buter sur l'ego de Livni et Nethanyahou.
Mais Droite+ultra-nationalistes+religieux = 65 sièges... comment faire ?
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6 février 2009 5 06 /02 /février /2009 15:32
Certains avaient moqué Nicolas Demorand qui avait exprimé son désintérêt pour un exercice de commande du Président de la République ; l'animateur des matins de France Inter, connu pour un interviewer accrocheur, avait balayé une question où on lui demandait s'il n'avait pas de dépit de ne pas être des happy few qui interrogeraient Nicolas Sarkozy le 5 février 2009.

L'émission à laquelle les Français ont assisté lui a largement donné raison. N'en déplaise à Jean-Marie Colombani qui plaidait ce matin la démonstration du virage à gauche du Président (au moins en mots) et dénonçait la critique stérile faite dans la foulée par Benoît Hamon, ce dernier avait bien raison : tout change autour de nous mais Sarkozy ne change pas ; l'échec de son action est patent mais lui continue de se bercer de mots et d'un volontarisme de posture comme au beau temps de la campagne présidentielle, sans aucune prise avec la réalité politique, sociale et économique vécue dans le pays par les Français.
C'est d'autant plus facile de se bercer avec le Président que les happy few, méprisés par Nicolas Demorand, ont tenu le rôle qu'on attendait d'eux : remplir la commande du président et ne poser aucune question gênante ou énervante (on sait jamais avec l'humeur du moment il pourrait finir par croire que les journalistes sont comme les préfets et qu'il peut les virer... et les présidents des chaînes seraient en plus capables d'obéir !).
Ainsi : aucune question sur le contre-plan de relance présenté par le Parti socialiste. Aucune question sur le fait qu'après avoir qualifié le plan de son propre gouvernement de "plan de rattrapage", cela pouvait ouvrir la voie à un véritable plan de relance dans la foulée. Aucune précision sur sa capacité de faire appliquer sa règle des trois tiers pour le partage de la valeur ajoutée. Aucune question sur le vieux rêve centenaire de la droite de détruire l'impôt progressif sur le revenu, car à force de l'attaquer par le haut et désormais par le bas (pour faire semblant d'être social) on tue la logique progressiste de cet impôt. Aucune question sur le fait que la taxe professionnelle ait déjà connu des annonces de suppression nombreuses sans jamais que cela ne rentre en application (rappelez-vous Chirac et Raffarin), aucune question sérieuse sur la mise en péril des recettes des collectivités ou sur la fragilisation de ces bastions de la gauche (au passage c'est la seule annonce concrète de soutien qui va encore une fois en direction des entreprises - 8 milliards d'euros - et qui lèsera in fine les contribuables). Rien sur la Guadeloupe et rien sur la Martinique, qui nous montrent la voie. Rien sur la rémunération des patrons des sociétés soutenues par l'Etat, alors que la droite avait fait sortir la comparaison avec Obama. Rien sur le contexte parfois trompeur des licenciements dont Laurence Parisot demande encore qu'on fasse sauter les derniers gardes-fous.

Bref un vrai parcours de santé pour Sarkozy, pas étonnant que le fossé se creuse, et que se creusait le décalage entre les petits reportages qui ont illustré cette émission, la parole sincère souvent touchante, frappante de Français qui témoignaient de la difficulté de vivre et un président de la République qui, face à un monde dont il constate qu'il change ne change absolument rien à sa politique.
La Gauche et le PS au premier chef doit désormais être à la hauteur et travailler à la riposte et à l'alternative dans l'unité, ce qui ne semble pas être entendu du côté de La Plaine-Saint-Denis où le NPA de Besancenot-Krivine a pour principale préoccupation d'interdire l'alliance avec le PS à ses interlocuteurs.
Frédéric FARAVEL
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5 février 2009 4 05 /02 /février /2009 17:09
Les partis et organisations de gauche réunies mardi 3 février à Paris se félicitent de l'ampleur du succès de la mobilisation sociale du 29 janvier. L'importance des grèves et des manifestations qui ont marqué cette journée témoigne d'un rejet massif des choix politiques du gouvernement Sarkozy-Fillon, marque une colère légitime face aux vagues actuelles de licenciements et de suppressions d'emplois, dans le privé comme dans le public, confirme l'exigence d'un « bouclier social » à l'opposé du « bouclier fiscal » pour les plus riches, et de mesures en faveur de l'emploi et des salaires à l'opposé des choix du gouvernement qui distribue sans contrepartie des milliards aux banques et aux grandes groupes.


Le message de la journée du 29 janvier est clair. Ce n'est pas au monde du travail, à la population de payer la crise. Contrairement à ce que vient d'affirmer le Premier ministre, la journée du 29 janvier porte clairement la demande d'un changement de cap, notamment sur les questions des salaires, de l'emploi, des services publics. Nicolas Sarkozy et le gouvernement ne peuvent se dérober à ces exigences et ignorer les grands axes avancés dans la plate-forme syndicale unitaire.

Plus largement, un très grand débat public est nécessaire dans le pays sur les mesures alternatives aux choix politiques actuels qui permettront de s'attaquer réellement et efficacement aux racines de cette crise et d’imposer une autre répartition des richesses et un autre type de développement.

Les organisations réunies apportent leur soutien aux mobilisations qui se développent ces jours ci dans l'éducation, dans l'enseignement supérieur et la recherche où le gouvernement doit revenir sur la loi Pécresse et ses décrets d'application, dans les hôpitaux et la santé, où l'inscription à l'ordre du jour du Parlement le 10 février prochain du projet de loi Bachelot doit être annulée. Parce que ces textes représentent des attaques inacceptables contre les services publics, elles appellent à prendre et à soutenir dans les jours qui viennent les initiatives nécessaires pour les combattre.

Elles s'alarment dans ce contexte des atteintes répétées aux libertés publiques et syndicales, qui en cherchant à intimider les mouvements de contestation, conduisent à une inquiétante dérive autoritaire du pouvoir qu'elles ne peuvent accepter.

Enfin, elles tiennent à apporter leur soutien à l'imposant mouvement social qui mobilise depuis plusieurs semaines la Guadeloupe, et demandent au gouvernement d'engager au plus vite de réelles négociations sur les revendications exprimées, notamment sur la question du pouvoir d'achat.

Les organisations réunies ont convenu de se revoir après l'intervention télévisée présidentielle du 5 février et la réunion des organisations syndicales prévue le 9 février pour décider de la suite de leur démarche commune en appui du mouvement social.

Signataires:
Les Alternatifs, la Coordination nationale des collectifs unitaires (CNCU), Lutte Ouvrière, le MRC, le NPA, le PCF, le PCOF, le Parti de gauche, le PS, Alternative Démocratie Socialisme (ADS), Alter-Ekolo.
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